Horas!
Je quitte mes amis de Singapour et me replonge dans le trafic de la cité-état. J'atteins la côte pour trouver l’embarcadère, non sans mal. On me fait passer d'un bureau à l'autre pour savoir quoi faire de mon vélo. Je suis finalement autorisé à l'embarquer après un contrôle digne d'un aéroport. Je découvrirai plus tard que l'officier a même réduit la pression de mes pneus... pour prendre le bateau! Je passe les contrôles migratoires avec aisance, étant exempt de tampons de so

